La convergence des projets
Du 2 au 5 mai
Le travail de Pauline Bastard se base sur des expériences collectives. En s'associant avec des scénaristes, anthropologues, psychanalystes, elle met en place des situations entre réalité et fiction qui sont autant prétexte à produire des films qu'à créer des expérimentations sociologiques ou philosophiques. Dans les États de la Matière, elle achète une maison et rassemble une équipe afin de la disperser dans la nature. Pour Alex, elle s'entoure de professionnels pour inventer une personne. Pauline Bastard a participé à divers festivals et expositions, dont la 30e Biennale de Sao Paulo et Hors Pistes au Centre Pompidou. Elle a été lauréate du prix Audi Talent Awards et a bénéficié de différentes résidences (18th Street Art Center, Bar project, Flux Factory). Pauline Bastard est représentée par les galeries Eva Hober, Joan Prats et Barbara Seiler, son travail fait partie de plusieurs collections publiques. Pauline Bastard est née en 1982, elle a étudié aux Beaux-Arts de Paris et à New York University, elle poursuit une activité d'enseignement depuis 2007.
Contenu du workshop : Nous pourrions inventer ensemble un fonctionnement collectif, un système d'entraide. Notre organisation mettrait en commun les projets et les savoir-faire. Elle permettrait de résoudre des questions pratiques, de questionner les idées. Selon les besoins nous serions un conseil, des performeurs, des techniciens, une main d'oeuvre... Chaque projet artistique suscite la mise en place de moyens et d'échanges, un petit système social, notre groupe peut devenir ce système et donner par son nombre une dimension nouvelle aux idées. La première année deviendrait un mode de production autonome, une agora, une démocratie directe, un espace de pensée, un lieu de vie autogéré.
A destination des étudiants en année 1
Du mardi 2 au vendredi 5 mai, Plateau année 1
Référent : Emmanuelle Becquemin
Contenu du workshop : Nous pourrions inventer ensemble un fonctionnement collectif, un système d'entraide. Notre organisation mettrait en commun les projets et les savoir-faire. Elle permettrait de résoudre des questions pratiques, de questionner les idées. Selon les besoins nous serions un conseil, des performeurs, des techniciens, une main d'oeuvre... Chaque projet artistique suscite la mise en place de moyens et d'échanges, un petit système social, notre groupe peut devenir ce système et donner par son nombre une dimension nouvelle aux idées. La première année deviendrait un mode de production autonome, une agora, une démocratie directe, un espace de pensée, un lieu de vie autogéré.
A destination des étudiants en année 1
Du mardi 2 au vendredi 5 mai, Plateau année 1
Référent : Emmanuelle Becquemin
Catégorie(s) : Workshop
Publié le : 12 Avr 2017
Publié le : 12 Avr 2017